Je relance le sondage après avoir tenu compte de vos remarques. J'ai retiré les pilotes n'ayant aucun ou 1 seul vote et ajouté ceux que vous avez demandés... J'espère avoir été plus complet cette fois ! A vos votes !!!!
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Résultat du sondage
Mike Hailwood
Giocomo Agostini
Jarno Saarinen
Barry Sheen
Fredy Spencer
Christian Sarron
Kevin Schwantz
Wayne Rainey
Michael Doohan
Jean Michel Bayle
Karl Fogarty
Max Biaggi
Loris Capirossi
Valentino Rossi
Nicky Hayden
Troy Bayliss
Daijiro Kato
Marco Mélandi
Noriyuki Haga
Sebastien Charpentier
La participation aux sondages est réservée aux membres
75 votes − Clos
Les 44 commentaires de cette publication.
et phil read, c'est de la satinette de maubeuge ?
PHIL READ :
THE « PRINCE OF SPEED »
Il est à coup sûr l'un des plus grands : son palmarès prestigieux, son style incomparable et son caractère intransigeant ont fait de Philip William Read l'une des personnalités les plus marquantes du monde de la course.
Au sein de ce qui est encore le « Continental Circus », depuis un certain Grand Prix de Yougoslavie en 1968, on ne l'appelle plus que « Read le Rebelle »… En cette fin d'été particulièrement chaud, Philip William Read, pilote officiel de l'écurie Yamaha, vient de refuser, au vu et au su de tout le monde, de se plier aux ordres et déclenche ainsi une violente polémique…
Mais l'histoire de Phil Read ne se résume pas à ce seul épisode. C'est d'abord celle d'un jeune garçon né en 1939 et qui s'achète, à l'âge de treize ans et pour la modique somme de trois livres et demie, une 250 Matchless à soupapes latérales datant de 1930. « Je crois l'avoir revendue avec profit pour environ 5 livres, écrira-t-il plus tard. Ce fut là ma première opération fructueuse en ce qui concerne l'aspect financier du motocyclisme ».
Cette Matchless, c'est sa propre mère va lui en révéler tous les secrets. Car celui qui va devenir l'un des plus grands champions de l'histoire a réellement de qui tenir. Ses parents n'ont-ils pas fait leur voyage de noce au guidon de deux Ariel « Red Hunters » flambant neuves ? Depuis sa plus tendre enfance, Philip William Read a sillonné les petites routes autour de Luton, sa ville natale, sur le tan-sad de papa ou sur celui de maman. Après quelques mois sans grand enthousiasme au collège technique de Luton – il envisage alors une carrière d'ingénieur -, Read junior décide de se consacrer sérieusement à la seule chose qui le passionne réellement : la compétition moto.
LA VRAIE COURSE
En 1957, à dix-sept ans, il achète une BSA Gold Star qu'il se propose de faire courir à Mallory Park. Il commence par passer de longues heures à démonter sur la machine tous les accessoires routiers qui n'ont rien à voir avec l'usage qu'il veut en faire. Ce n'est qu'au dernier moment qu'il se rend compte qu'il ne dispose d'aucun autre véhicule pour se rendre sur le circuit et remonte le tout… C'est donc à Mallory Park que Read effectue ses premiers tours de circuit avec, pour tout supporter, sa propre mère Doris venue l'assister en cet instant décisif. Malgré une « gamelle » impressionnante, il prendra la treizième place de cette épreuve modeste. On ne peut pas dire que ses exploits, à l'époque, défrayent les chroniques locales : sans moyens, ne disposant que d'une seule même moto pour courir et se déplacer, Philip William Read découvre en fait les dures réalités matérielles de la course.
Il comprend vite, notamment, l'importance de l'aspect technique et c'est en toute connaissance de cause qu'il casse sa tirelire pour investir dans une Norton 350 Manx d'occasion qu'il va piloter la première fois à l'occasion du « Manx Grand Prix ». Épreuve typiquement « British », cette course se dispute sur le même tracé que le célèbre « Tourist-Trophy » de l'île de Man. Elle a lieu généralement en septembre et elle est réservée aux pilotes britanniques. Le jeune Read apprend vite les innombrables courbes de ce tracé diabolique et termine troisième en 350 cm3. Au guidon de la même moto, comme on le faisait souvent à l'époque, il terminera dix-septième dans la catégorie 500. L'année suivante, et grâce à quelques primes de départ glanées ici ou là, il peut échanger sa vieille Manx contre un modèle flambant neuf et y ajouter même la version 500 cm3. Sa dernière tentative, toujours au « Manx Grand Prix », se soldera par une casse en 350 et une victoire en 500 à plus de 152 km/h de moyenne : le résultat est plus qu'encourageant, certes, mais ne lui ouvre pas encore les bras généreux des trop rares sponsors de l'époque.
Phil Read va donc commencer la saison 1961 avec la ferme intention de faire reconnaître ses talents par ceux qui sont à même de bien les lui rétribuer. Et quel meilleur théâtre, pour un pilote britannique, que l'authentique Tourist-Trophy ? Engagé dans les deux classes les plus prestigieuses, 350 et 500 cc, Read va chuter, heureusement sans dégâts, dans la catégorie 500. Mais, en 350, la chance est avec lui puisque ses deux grands rivaux, qui ne sont autres que Mike Hailwood et Gary Hocking, vont connaître des ennuis mécaniques : culbuteur pour Hailwood, soupape pour Hocking. Phil Read, dont la Norton préparée par Bill Lacey fonctionne ce jour-là comme un chrono suisse, remporte son premier TT. La petite île de Man est en train de devenir, pour lui, l'île aux trésors… Il est alors le premier Anglais à remporter l'épreuve sur une machine anglaise depuis 1952 et devient d'un seul coup l'homme dont on parle en Angleterre… Il s'adjuge, par la même occasion, la quatrième place au championnat du monde. Pendant l'hiver, toujours avec sa Norton personnelle, Phil part faire la saison en Afrique du Sud où il remportera six des neuf courses dont il prend le départ.
En 1961, toujours sur Norton, dans la catégorie 500, il ne peut pas grand-chose contre le redoutable Gary Hocking et la MV officielle. En 350 cc, il termine toutefois la saison à la troisième position ce qui fait de lui le meilleur privé britannique. Il ne lui manque plus, désormais, qu'une moto d'usine.
LA SCUDERIA DUKE… ET YAMAHA
En 1953, 1954 et 1955, au guidon des Gilera italiennes, Geoff Duke était devenu une sorte de mythe vivant en s'emparant trois fois de suite du titre mondial en 500 cm3. Fin 1962, lassé par la suprématie écrasante des MV Agusta, Geoff Duke arrive à convaincre le Commendatore Giuseppe Gilera : il faut, lui dit-il, ressortir du musée les quatre-cylindres Gilera retirées de la course depuis le retrait officiel de la marque en 1957 : il estime que, contre toute attente, elles sont encore capables de battre les MV. Il propose au « Commandatore » de lui louer les machines – il a trouvé des commanditaires – et ne demande que les mécaniciens de l'usine. Séduit par des essais préliminaires satisfaisants à Monza, Giuseppe Gilera accepte de créer, pour 1963, cette Scuderia Duke, avec Derek Minter et John Hartle comme pilotes. Les Gilera relancent ainsi le formidable duel que se sont livré, pendant des années, les deux usines italiennes.
Mais lorsque Derek Minter se retrouve sur la touche à cause d'un bras cassé, c'est à Phil Read que Geoff Duke propose les quatre-cylindres italiennes : il terminera troisième au TT, prendra la seconde place à Assen et à Spa, et, surtout, se familiarisera avec ces puissants multicylindres qui vont, de toute évidence, dominer la catégorie 500…
C'est à la fin de la saison que Read reçoit la plus belle des propositions que puisse attendre un pilote : l'usine Yamaha l'invite au Japon pour piloter la 250 officielle. « Je me sentais aussi important qu'un député, dit-il… Un escadron de dirigeants m'attendais à mon arrivée, et nous discutions pendant des heures ». Il découvre aussi les formidables accélérations de ces moteurs deux-temps Yamaha qu'il ne connaît pas. Troisième de l'épreuve derrière Redman et son coéquipier japonais chez Yamaha, Fumio Ito, il s'attire la reconnaissance de l'usine qui lui offre un contrat pour la saison suivante. Phil Read devient ainsi le premier pilote officiel européen chez Yamaha.
Après une casse aux États-Unis et une troisième place en Espagne, Phil Read remporte avec la Yamaha sa première victoire sur le circuit de Charade à Clermont-Ferrand pour le Grand Prix de France : quatre autres victoires (Allemagne fédérale, Allemagne de l'Est, Irlande et Italie) vont lui permettre d'empocher son premier titre mondial : pour la première fois, dans la catégorie 250, un moteur deux temps est champion du monde ! « C'était mon heure, écrira-t-il plus tard. J'étais au sommet du monde. Toutes ces nuits sans sommeil, ces soucis, cette peur, ces milliers de kilomètres parcourus, ces courses interminables où nous avions bagarré ensemble, tout cela était terminé, j'avais gagné. Et, vraiment, cela en valait la peine… ».
En 1965, Read va sans problème reconduire son titre en 250. Il en profite, à l'occasion du T.T, pour prouver haut et fort le formidable éclectisme de son style qui force l'admiration générale : il remporte la catégorie 125, toujours au guidon d'une Yamaha officielle.
1966, par contre, va consacrer la réelle supériorité des Honda : depuis la fin de la saison 1965, Bill Ivy, « Little Bill » comme on le surnomme affectueusement sur les circuits, est venu renforcer les rangs du team officiel Yamaha. Malgré tout leur talent, les deux pilotes vont avoir fort à faire avec les Honda de Ralph Bryans et surtout de Luigi Taveri. Ils remportent cinq victoires à eux deux, mais ne pourront empêcher le Suisse d'être champion du monde en 125. Mike Hailwood et la six-cylindres Honda, en deux et demie, sont virtuellement intouchables.
En 1967, si Bill Ivy parvient à enlever le titre en 125, Phil Read ne peut empêcher « Mike the Bike » de remporter le titre en 250.
LE « REBELLE »
1968, qui marque le retrait des Honda officielles, sera pour les quatre-cylindres Yamaha un grand millésime : Bill Ivy et Phil Read, en 125 et en 250, vont s'y livrer un combat singulier que seul le Japon était en mesure d'arbitrer. Aux deux tiers de la saison, effectivement, les ordres arrivent de Hammamastu : Read sera champion du monde en 125, Ivy le sera en 250. Phil Read, qui soupçonne Yamaha de vouloir se retirer de la compétition officielle, attend Brno, alors qu'il a pratiquement empoché le titre des 125, pour prendre sa décision : « Nous étions sur la ligne de départ, attendant Bill sur la grille des 250. Il savait, et je savais, que s'il gagnait, il serait champion du monde en 250 pour la première fois. À une minute du départ, nous attendions le feu vert pour nous élancer. J'ai regardé dans la direction de Bill et je lui ai dit : « Bill, tu sais que, pour celle-là, il va falloir te battre ? » Il a compris la situation… Ils pouvaient me vider s'ils le voulaient, j'étais parti pour gagner, et j'ai gagné ! ».
Entre les deux hommes, c'est aussitôt la guerre. Livrés à eux-mêmes – les mécaniciens japonais sont retournés chez eux - Read et Ivy vont finir la saison à leurs frais, déchaînés, et tous deux décidés à tout pour faire obstacle à leur ex-coéquipier. Vainqueur en Finlande, Read prend un avantage certain. Mais en Irlande, victime d'une fuite d'eau, il doit s'arrêter définitivement et Ivy reprend la tête au classement provisoire. À la veille du dernier Grand Prix, en Italie, les deux hommes ne sont séparés que de deux points. En d'autres termes, le vainqueur de Monza sera champion du monde. C'est sur un circuit détrempé que devait se dérouler la dernière épreuve de l'année : Phil Read, malgré une chute en 125 quelques minutes plus tôt, va faire une course d'anthologie puisqu'il tournera presque aussi vite que la 500 MV d'Agostini. À la fin de cette saison, les deux hommes – cas unique dans les annales – se retrouvent à égalité de points et de places. C'est sont donc le total des temps qui va finalement attribuer le titre. Après 10 courses, 292 tours de circuit et plus de 2 600 kilomètres à l'extrême limite, Phil Read est sacré champion du monde pour 2 minutes, 5 secondes et 3 centièmes…
Les deux saisons suivantes, 1969 et 1970, vont être pour Read des années de transition. Et dans tous les domaines… Il divorce, liquide son entreprise de bateaux à Guernesey et ne s'inscrit dans une compétition que dans quelques courses grassement payées. Pour certains observateurs, la carrière de Phil Read est d'ores et déjà terminée…
UN « PRIVÉ » CHAMPION DU MONDE
C'est pendant l'hiver 1970-1971 que tombe une nouvelle qui allait faire couler beaucoup d'encre : Phil Read repart, tout seul, à la chasse au titre mondial ! Pour s'attaquer tout seul à une meute de Yamaha plus ou moins aidées par l'usine, Read veut se doter de moyens importants et engage Helmuth Fath, l'ex-champion du monde de side-car, pour préparer les moteurs de ses Yamaha privées. Ceux-ci, entre chaque course, seront envoyés au Japon pour y être reconditionnés avant le Grand Prix suivant. Phil Read, qui ne roule plus qu'en Rolls-royce et dispose sur le circuit d'un gigantesque camion à son nom, entoure ce « come-back » d'un maximum de publicité. Pour lui, ce retour se doit d'être un succès. Et contre toute attente, Phil Read va réussir l'impensable exploit : vainqueur en Allemagne de l'Ouest, en Angleterre et en Hollande, il parvient, au nez et à la barbe de l'usine Yamaha qui lui en veut toujours autant, à imposer la moto privée préparée selon ses directives. La performance est reçue au Japon comme un authentique camouflet. Et c'est auréolé d'une gloire encore plus sulfureuse qu'il commence, toujours en tant que privé, la saison 1972.
À la veille du premier Grand Prix de la saison, les gens de chez MV lui font part de leurs intentions : ils cherchent un second pilote pour épauler Agostini dans la mise au point des nouveaux modèles. Aucun pilote au monde, pas même Read, ne peut résister à une pareille offre. À Clermont-Ferrand, première course de l'année, Phil Read fait un véritable « carton » en 250, avant de jouer un mauvais tour à son « ami » Agostini en 500. Inscrit avec sa deux et demie – qu'il engagera comme une 350 pour être admis à prendre le départ -, Phil Read, va se permettre de faire trois tours en tête, largement détaché devant la MV d'Ago. Pour ne pas risquer un éventuel contrôle technique, il simulera une panne pour s'arrêter, hilare et satisfait, sur le bord de la piste : il a montré, au guidon d'une simple 250, qu'il pouvait être en 500 devant l'invincible Ago.
C'est donc en toute logique, pour le Grand Prix d'Italie, que Phil Read se voit confier une des MV officielles avant de signer, pour la saison suivante, un contrat en bonne et due forme. Bien évidemment, l'arrivée de Read au sein du team ne fait pas que des heureux. Agostini sait le peu d'estime que lui porte Read et les rapports entre les deux hommes seront très vite pour le moins tendus. Après les deux victoires de Saarinen, en France et en Autriche, Read va gagner les deux « vrais » Grands Prix suivants : Allemagne et Hollande. Second derrière Ago en Belgique, en Tchécoslovaquie et en Finlande, il arrache deux autres victoires en Suède puis en Espagne. Pour sa première saison chez MV, Phil Read est champion du monde en 500. Au grand désespoir, bien entendu, d'un certain Giacomo Agostini.
En 1974, cette fois premier pilote chez MV, il va une fois encore sortir vainqueur du duel qui l'oppose à un Ago qui est passé depuis dans le team officiel Yamaha mais qui se montre souvent malchanceux. L'année suivante, en 1975, le duel Read-Ago va tourner à l'avantage de l'Italien qui reconquiert son titre en 500. Read se bat comme un diable tout au long de la saison au guidon d'une MV qui commence à « dater » sérieusement. L'usine italienne, très consciente de cet état de fait, décidait à la fin de la saison d'abandonner officiellement la compétition. Une page de l'histoire du deux-roues était définitivement tournée.
La carrière de Read, dès lors, prenait son dernier tournant. Il tentait, dans un premier temps, de refaire une saison en 500 cm3 au guidon d'une Suzuki privée : les casses successives le mettent dans une telle rage qu'à l'issue des essais du Grand Prix de Belgique, écœuré, il rentre définitivement chez lui.
Phil Read, d'abord et avant tout, a été un très grand pilote : ses innombrables victoires et ses sept titres mondiaux le prouvent. Mais le « Prince de la vitesse », c'était surtout un style d'un classicisme, d'une pureté et d'une précision qui ne pouvaient qu'enflammer les amoureux de ce sport. C'était aussi un caractère et une personnalité très forts qui ne pouvaient laisser indifférent. Même ses plus grands ennemis – qui ne manquaient pas réellement - n'ont jamais pu remettre en question les points essentiels qui ont forgé la « légende Phil Read » : le talent, l'individualisme et le courage.
Palmarès de Phil Read :
Champion du monde 1964 (250 cc), 1965 (250 cc), 1968 (250 cc et 125 cc), 1971 (250 cc), 1973 (500 cc)et 1974 (500 cc).
vu le palmarés ???
et angel nieto, c'est de la paella surgelée ?
Avec treize titres de champion du monde et près de cent victoires en Grands Prix, il est, après Giacomo Agostini, le pilote le plus titré de l'histoire de la vitesse. Décoré par le roi d'Espagne (dont il se flatte d'être l'ami), adulé passionnément par tout un peuple, richissime et écouté de tous, Angel Nieto peut être fier de sa carrière…
Bon j ai voté Rossi (pas specialment fan) mais il a un sacrée palmares , sinon J aurai dit aussi Agostini , rester vivant a l epoque ou il courait et avec 15 titres cé vraiment un bon !
sinon il manque aussi Roberts pére il a pas mal contribuer a notre sport favorie
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moi je pense que c'est un peu subjectif tout ça (j'ai voté hailwood) suivant les epoques et tout ça ils sont tous plus ou moins de la même trempe c'est gars là c'est comme pour les pilotes F1 y en a qui dirait fangio ou schum pour le palmares d'autres le prof pour sa science de la course ou Senna pour sont coup de volant et le folie qui l'habité enfin c'est ce que je pense
Pas évident d'en choisir un seul mais je pense que ROSSI est quand même le meilleur.
Si on s'en tient au palmares seul, AGOSTINI est devant mais il faut remettre ça dans son contexte et dans son époque et je pense qu'a l'époque d'AGO, il y avait quand même beaucoup de moins de concurence. (même AGO lui même la reconnu dans Le cheval de fer")
GRT 21 a parlé de Phil Read je suis d'accord, sinon il y a un grand aussi c'est René Guilli qui m'impressionne énormément pour ses nombreuses chutes, cet homme a quand meme été déclaré 2 fois mort avant qu'il ne se réveille avec de multiples fracture et malgré ca il jouait aux avant postes
pas simple ce choix !!!!
la derniere fois il en manquait et maintenant qu'ils sont tous la on ne sait plus lequel choisir j'ai voté rossi pour son palmares et aussi pour ses glisses spectaculaires mais j'ai quand meme bcp hesité avec doohan !!!!
1000Pat a dit :
Manque aussi les top pilotes du TT style J Dunlop ou MacGuinness qui sont de multiples vainqueurs de cette epreuve, qui a mon sens est une des plus folle ...
Je l'ai regardé hier soir, le TT 06, c'est des ouf !!!
<quote><author>grt21</author> <quote><author>1000Pat</author>
Manque aussi les top pilotes du TT style J Dunlop ou MacGuinness qui sont de multiples vainqueurs de cette epreuve, qui a mon sens est une des plus folle ...
Je l'ai regardé hier soir, le TT 06, c'est des ouf !!!</quote>
c'est qui qu'a gagné au fait ?
</quote>
McGuinness, sur une 1000 CBRR en 1h58 les 6 tours de 60 bornes ..... avec ravitaillement et tout le toutim
8 eme ou 9 eme victoire je crois .....John-Mc-Guiness.html
Décidément j'ai po de chance avec vous... Ouiiiiinnnnn !
Il n'y a que 20 possibilités. J'ajoute ceux que vous aviez demandé et je retire ceux qui n'ont pas obtenu de vote ou alors un seul et voilà que vous les demandez de nouveau ! Je suis bien d'accord au sujet de Phil Read (le Prince de la vitesse) et d'Angel Nieto. Mais les pauvres n'avaient qu'un seul vote ! Peut être que nous devons conclure que la forme des sondages sur le site n'est pas appropriée. La liste est trop limitée et nous ne pouvons voter que pour 1 seul pilote. Perso je me lâcherais bien pour plusieurs ! Mais bon.
S'agissant du sondage précédent c'est Vale qui a gagné haut la main. Je comprends. Perso, je trouve que depuis 2 ans il a changé et pas en bien. Coté pilotage rien à dire, c'est le meilleur actuellement. Mais il porte le maillot de Matarazi, il refuse de voir Stoner dans sont team, il fait de l'intox, il déstabilise ses concurrents et il regarde de haut même ses potes comme Capirex. Ce n'est pas cool. Bon, tous les grands pilotes sont plus ou moins mégalo mais tout de même ! Capirossi, notamment, est vraiment beaucoup plus sympa.
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1000Pat a dit :
supermotard a dit :
........il regarde de haut même ses potes comme Capirex .......
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c'est normal : Capirex est tout petit et Valé beaucoup plus grand
supermotard a dit :
1000Pat a dit :
supermotard a dit :
........il regarde de haut même ses potes comme Capirex .......
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c'est normal : Capirex est tout petit et Valé beaucoup plus grand
Oui mais Capirex ne vois de Vale que les poils de son pif ! Et c'est po joli joli !!!
Toukoutoum toum toum toum...
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je vote encore pour SPENCER, il reste pour moi un très grand pilote. De plus il a été le dernier à pouvoir être champion du monde en 250 et 500 la même année, ça reste un exploit
tout le monde parle de l'exploit de spencer mais ont oublient qu'il ne la realiser qu'une foie et en plus il a eu des problemes de tendinite apres ago a realiser la meme en 350 et 500 et 5 foies de suite alors ont va dirent oui mais c'etait pas la meme epoque la moto de spencer etait plus puisante et tout et tout mais pour ceux qui ont connuent les grands prix du temps d'ago ils vous diront tous que les conditions de course etaient plus dures a cette epoque il n'y a qu'a regarder le nombre de deces en course
pour moi tous les pilotes des annees 60/70 au temps etranger que francais sauf estrosi
Jean Michel Bayle bien sur- champion du monde cross 125-champion du monde cross 250- triple champion cross/supercross USA- Guidon d'Or- une pole en GP 500- et je passe tous les titres de champion de france.....etc etc...et l'année ou il est passé à l'enduro il aurait finit champion sans cette saloperie de gamelle....THE KING
j'aime bien ROSSI non je l'adore .... mais je n'ai jamais brulé mes idoles de gosses ...c'est ca les vieux quand j'étais môme j'me prenais pour JMB sur ma 125 RM
Jonguy, pourquoi sauf Estrosi ? C'était un très bon pilote qui a été champion de France et a bien marché en GP. Pour moi il est à placer au même niveau que Christian Bourgeois par exemle. J'espère que ce n'est pas la suite de sa vie qui te fait écrir cela, ce ne serais pas juste si l'on parle de pilotage.
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Jonguy, pourquoi sauf Estrosi ? C'était un très bon pilote qui a été champion de France et a bien marché en GP. Pour moi il est à placer au même niveau que Christian Bourgeois par exemle. J'espère que ce n'est pas la suite de sa vie qui te fait écrir cela, ce ne serais pas juste si l'on parle de pilotage.
estrosi je l'ai connus a c'est debut 1er course 1er victoire et declasser il avait tricher,tricheur un jour tricheur toujours
Eagle4 a dit :
Et john SURTEES ?
Eagle4 a dit :
Et john SURTEES ?
Merci pour cette historique grt21 ! C'est bien de faire savoir tout cela aux "jeunes". C'est parce que ce MONSIEUR avait fait tout cela que je l'avais placé dans le premier sondage. Mais il n'a eu aucune voix. Je pense que certains auraient bien voté pour lui, mais avec ce système à la con qui oblige choisir une seule réponse...
En tout cas bravo pour ces éclaircissements !
PS : Quel age as-tu ?
supermotard a dit :
Décidément j'ai po de chance avec vous... Ouiiiiinnnnn !
Il n'y a que 20 possibilités. J'ajoute ceux que vous aviez demandé et je retire ceux qui n'ont pas obtenu de vote ou alors un seul et voilà que vous les demandez de nouveau ! Je suis bien d'accord au sujet de Phil Read (le Prince de la vitesse) et d'Angel Nieto. Mais les pauvres n'avaient qu'un seul vote ! Peut être que nous devons conclure que la forme des sondages sur le site n'est pas appropriée. La liste est trop limitée et nous ne pouvons voter que pour 1 seul pilote. Perso je me lâcherais bien pour plusieurs ! Mais bon.
S'agissant du sondage précédent c'est Vale qui a gagné haut la main. Je comprends. Perso, je trouve que depuis 2 ans il a changé et pas en bien. Coté pilotage rien à dire, c'est le meilleur actuellement. Mais il porte le maillot de Matarazi, il refuse de voir Stoner dans sont team, il fait de l'intox, il déstabilise ses concurrents et il regarde de haut même ses potes comme Capirex. Ce n'est pas cool. Bon, tous les grands pilotes sont plus ou moins mégalo mais tout de même ! Capirossi, notamment, est vraiment beaucoup plus sympa.
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nanard94 a dit :
Jean Michel Bayle bien sur- champion du monde cross 125-champion du monde cross 250- triple champion cross/supercross USA- Guidon d'Or- une pole en GP 500- et je passe tous les titres de champion de france.....etc etc...et l'année ou il est passé à l'enduro il aurait finit champion sans cette saloperie de gamelle....THE KING
je vous parle de mike hailwood vite fait :
(relater sa carrière serait trop long !!)
Stanley Michael Bailey Hailwood, surnommé Mike the Bike, (2 avril 1940 - 23 mars 1981) fut un des plus grands pilotes de moto de tous les temps, puis un grand pilote automobile.
Une de ses grandes qualités était d'arriver à tirer parti de n'importe quelle machine, quel que soit son état. On l'a vu gagner avec la boîte de vitesses bloquée ou un amortisseur cassé.
Il est aussi connu pour avoir sauvé la vie de Clay Regazzoni, dont la voiture de Formule 1 brûlait, au Grand Prix d'Afrique du Sud de 1973. Il a reçu la George Medal pour cet acte héroïque. Ses confrères de l'époque ont reconnu que seul un ex-motard était capable d'un tel exploit ! Probablement, mais pas n'importe lequel ...
9 fois champion du Monde moto entre 1961 et 1967
Champion d'Europe de Formule 2
50 participations en Grand Prix de Formule 1 à partir de 1963
1958 année de ses 18 ans :
Court sur Ducati, NSU, MV Agusta, Norton, Triumph, Paton.
74 victoires
Gagne 7 fois 3 catégories dans la même journée.
Gagne 2 fois 4 catégories dans la même journée (125cc, 250cc, 350cc et 500cc), avec record du tour dans chaque catégorie
nanard94 a dit :
Jean Michel Bayle bien sur- champion du monde cross 125-champion du monde cross 250- triple champion cross/supercross USA- Guidon d'Or- une pole en GP 500- et je passe tous les titres de champion de france.....etc etc...et l'année ou il est passé à l'enduro il aurait finit champion sans cette saloperie de gamelle....THE KING
j'aime bien ROSSI non je l'adore .... mais je n'ai jamais brulé mes idoles de gosses ...c'est ca les vieux quand j'étais môme j'me prenais pour JMB sur ma 125 RM
schwantz pour le 500 2t rossi pour le 1000 4t phil read pour la vieille epoque sheene pour le debut des genoux par terre ago pour les records mais grace a de bonne machines ((eh)) spencer pour 2titres la meme annee 250 et 500 faut enchainer grave 2 courses de suite .... sarron pour la france en 500 2t annee 80 car de belle bagarre avec sa yam en retrait a l epoque face au lawson et mamola gardner spencer roche haslam ...pons car sans cet accident il aurait eu de sacré titres mike car machine pas simple doohan car 5titres respect mamola 4fois vice champion 500 aie aie roberts papa 3titres pas facile et puis y en a tant qui ont marqué la course y sont tous exeptionnel quelque part et yen a encore bye
curtgex a dit :
schwantz pour le 500 2t rossi pour le 1000 4t phil read pour la vieille epoque sheene pour le debut des genoux par terre ago pour les records mais grace a de bonne machines ((eh)) spencer pour 2titres la meme annee 250 et 500 faut enchainer grave 2 courses de suite .... sarron pour la france en 500 2t annee 80 car de belle bagarre avec sa yam en retrait a l epoque face au lawson et mamola gardner spencer roche haslam ...pons car sans cet accident il aurait eu de sacré titres mike car machine pas simple doohan car 5titres respect mamola 4fois vice champion 500 aie aie roberts papa 3titres pas facile et puis y en a tant qui ont marqué la course y sont tous exeptionnel quelque part et yen a encore bye
supermotard a dit :
RESULTATS FINAUX DU VOTE :
1) Vale presque 50 %
2) Michael Doohan +/- 11 %
3) Ago, Hailwood, Schwantz, Bayle, Bayliss +/- 4,5 %
4) Saarinen, Spencer, Biaggi, Haga +/- 3%
5) Rainey, Capirex, Charpentier +/- 1,5 %
Maintenant, vivement la saison 2007 !
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