Liberté de Tony Gatlif avec quelle moto ?

la scène commence à 48 secondes.

quelques secondes vue de face, c'est pas facile
le phare en position haute, la fourche à paraléllo et les vitesses au réservoir sont archi standard à l'époque et de plus, avant guerre la France comptait des dizaines d'assembleurs.

restent les flans rouges du réservoir et les poignées montées en bout de guidon "façon solex", qui peuvent permettre d'éliminer pas mal de candidates potentielles.
terrot possible vu que c'est la marque qui a marqué les esprit et la plus disponible aujourd'hui pour tourner ce genre de scènes, mais ça peut aussi être une BSA
p'être que si l'on ne la voit pas de profil, c'est parce que sur la plaque il est écrit "peugeot 1939"

sinon le marc lavoine, il a pas l'air super rassuré lorsque le passager se dresse sur les reposes pieds puis se retourne pour tenter de rattraper son chapeau et en plus il accélère avec une poignée tournante, ce qui peut être un indice supplémentaire.

v: Merci Desmolo pour ton éclairage. Je vais essayer d'approfondir mes recherches la semaine prochaine à partir de tes observations. Il est vrai que ce n'est pas facile ! Il faut que je visionne à nouveau le film pour vérifier s'il n'y aurait pas une autre séquence avec la moto présente. Il me semble que non.

* « Le passager qui se dresse sur les reposes pieds » est James Thiérrée, petit-fils de Charlie Chaplin; toutes les scènes jouées se font sans doublure et sans filet. Il vient entre autres de l'univers de la piste....... le cirque.
Si tu as l'occasion de voir le film, il y a des scènes incroyablement bien jouées avec des prises de risques réels pour cet artiste notamment les séquences jouées dans les arbres et la descente d'escaliers quelque peu particulière ....
J'adore ce film ! il y aurait beaucoup à dire en analyse filmique mais bon, on est sur un forum de motos

Le tournage a eu lieu tout près de chez nous dans la Loire, plus exactement dans les monts du Forez, proche de Saint-Bonnet-le-Château.