juste une question au Webmaster pour savoir si emoto utilise des webugs ces petits pixels mouchards ...merci.
Les 6 commentaires de cette publication.
Revue de Web
18/07/2000 • 11h36
Pire que les cookies : les Web bugs…
Les Web bugs ou gifs 1-pixel sont des mouchards d'un nouveau type, invisibles et indétectables. La justice américaine commence à s'intéresser à eux…
Transfert
Pas besoin d'être un expert en informatique pour repérer les cookies que votre disque dur a glanés au cours d'un surf. Ces mouchards indésirables, semés par les annonceurs pour connaître les goûts et les sites préférés des internautes, ne sont même pas difficiles à éliminer. Mais une nouvelle race de cyber-galette va donner du fil à retordre aux amateurs : le Web bug.
Ces gifs minuscules, un seul pixel, ne sont pas cachés dans les bannières publicitaires, ils sont invisibles et échappent à tous les anti-cookies connus. Pire : ils "parlent" avec les cookies d'une même société. Ce qui signifie que si on attrape un bug de DoubleClick, celui-ci amènera sur un plateau d'argent au géant de la pub en ligne toutes les informations recueillies dans tous les cookies DoubleClick qui ont bombardé votre disque dur… La direction de DoubleClick, finaude, jure que ces renseignements servent à mieux connaître les pratiques des internautes. Mais l'attorney général du Michigan, qui a engagé des poursuites contre la firme pour violation des droits du consommateur, ne semble pas l'entendre de cette oreille…
Arnaud Gonzague
VNUnet- Informer sur la présence des 'Web bugs'
Pour l'instant, les sociétés qui emploient les Web bugs n'ont aucune
obligation d'information des internautes. Cela devrait bientôt changer.
Alors qu'en France la Cnil réfléchit à la question, la Privacy Foundation
a fait plusieurs propositions lors du Global privacy summit 2000. Avant
toute chose, l'organisation demande que les "pixels invisibles", tels
qu'on les nomme, apparaissent sous forme d'icônes clairement
identifiables comprenant le nom de la société ayant placé le Web bug.
Le point suivant concerne l'emploi des données recueillies grâce aux
Web bugs. Les propositions suggèrent que toutes les informations
soient accessibles d'un clic sur l'icône en question : données
collectées, utilisation, sociétés les recevant, autres informations avec
lesquelles ces données seraient croisées et enfin transfert d'un
éventuel cookie. Une fois informé, l'internaute pourrait ensuite décider
de désactiver l'indiscret. Enfin, en dernier lieu, la Privacy Foundation
propose d'interdire purement et simplement l'emploi des Web bugs sur
des pages dont le contenu est "sensible" (sites pour enfants, liés à la
santé, aux finances, à l'emploi ou encore aux pratiques sexuelles).
yen a pas de ça, la régie utilise des cookies visiblement et ça reste dans les bannières vu que la régie, ce n'est pas la même société, donc les codes et les serveurs ne se "causent" pas.
ceci dit, des images qui cachent des programmes, y'en a plein sur le net, à commencer par les trucs utilisés par tout le monde : les sites de smileys.
ce n'est pas nouveau, c'est aussi vieux que le CGI donc au moins 10 ans si c'est pas plus.
quelque soit la technologie (cookie ou autre), elle ne devine rien de toutes les façons, elle ne sait que ce que tu lui dis, donc si tu ne lui dis rien, elle ne sait rien.
ton téléphone portable est bien plus bavard que les cookies de pub 😃 et il n'y a pas besoin d'analyse comportementale pour savoir que ce sont essentiellement des motards qui viennent ici 😃
il y a un truc bizarre dans ces articles, c'est pourquoi tout le monde parle d'une image d'un pixel... aucun rapport. Un programme se cache aussi bien derrière une photo en plein écran ou un logo qui figure sur toutes les pages d'un site.