Rencontre avec Paulo, le responsable Suzuki chez DSN Motos
Après une reconversion professionnelle, Paulo a fait de sa passion son métier dans une concession moto. Il est maintenant en charge de Suzuki qui vient de revenir chez DSN Motos à Marmande. Il nous parle de l'activité Suzuki et pour les clients DSN Motos.
Paulo : La moto, ça a été une reconversion professionnelle, je suis de formation comptable avec une licence en management, ce qui n'a rien à voir avec la moto, j'ai eu l'opportunité pour cette licence en alternance, je suis motard depuis que j'ai 18 ans, je suis monté à Agen voir l'ancien concessionnaire Kawa sur Agen, on discuté et je suis resté chez eux pendant 2 ans et demi, 3 ans, le temps de faire ma licence. Après j'ai enchaîné en tant que vendeur.
Ici à Marmande, Suzuki est arrivé au mois d'avril. On a rencontré Sandra en début d'année (la personne responsable de Suzuki dans le sud ouest), elle a vu ce qu'on était capable de faire, le soin qu'on apportait aux marques, elle nous a proposé le challenge. Début septembre on est pas mal, on a de plus en plus de clients, la marque a renouvelé les modèles donc on a vraiment de la demande, on est sur une pente ascendante et on a tout le nécessaire pour continuer à travailler.
Qu'est ce qu'on achète comme Suzuki à Marmande ?
Paulo : Roadster et Trail, on a les deux. Je vends beaucoup de roadsters, on commence à faire des trails avec des trails adaptés à faire un peu tout, la 800 V-Strom DE qui fait du tout-terrain qui fait de la route, qui est très polyvalente. Moins de scooters parce que ce n'est pas forcément adapté à la campagne. 70% de roadsters et trails, et le reste.
DSN Motos propose des animations ?
Paulo : On a fait des portes ouvertes au mois de mai, le Motofest début juin, on fait des balades tous les mois ou mois et demi, selon la météo, on essaie de dynamiser un peu le coin. On n'a pas toujours été ici, on était de l'autre côté de la ville avant. On essaie de garder cet esprit motard, de partager avec le client, on a des clients qui sont là régulièrement, on a un esprit un peu famille. On essaie de rester à l'ancienne là-dessus.